Etape 19 : il me faut tout finir
(Chérie, j'ai rétréci l'agenda)
Ayé, cette fois, je flippe.
Oh, c'est bon, pas la peine de ricaner hein. Je ne panique pas tout à fait. Disons que, trois jours avant le départ, je commence à réaliser sérieusement. Et y'a pas mal de trucs qui font que la tête à l'envers a du mal à se remettre à l'endroit (et essaie de manger avec la bouche à la place du front, tu verras bien si je plaisante).
Ma semaine parisienne a été un véritable salut, une bouée de sauvetage lancée sur une eau calme, avant la tempête de maintenant. La tempête, elle a commencé par un déménagement, puisque je viens de libérer pour de bon mon appart (merci les copains pour les cartons :). Puis, dans un style moins physique, il y a les "au revoir" à répétition, parce que là, cette fois, y'a pas mal de gens que je ne vais plus revoir en 2008. Il y a eu des journées et soirées "entre potes", qui font des guilis dans le ventre, si j'y réfléchis trop. Et soudain tout le monde veut me voir une dernière fois, et j'ai encore des trucs à faire, et je négocie les créneaux horaires comme un avocat défend son client contre la peine capitale.
Mais, bonne nouvelle, j'ai un nouveau petit ordinateur portable tout mimi qui devrait bien me servir pour vous tenir au courant de mes pérégrinations.
STV.
"Ouais, mais c'est pas le PC qui va appeler EDF.
- Ni lui qui va acheter la housse pour son sac.
- Ni lui qui va...
- C'est bon, je crois qu'il a compris."