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Une porte vers ailleurs
16 février 2008

Le voyage (1/2)

(Y a-t-il un Stephame dans l'avion ?)

(Dans l'avion, aeroport de Los Angeles, quelque part entre le 15 et le 16 Fevrier. Etat : grosse fatigue)

Mes premiers mots sont rediges a Los Angeles, dans l'avion, pret au decollage. L'escale a ete longue, dans le plus pur style americain : sortie de l'avion, attente, distribution de tickets, attente, bureau de l'immigration (avec prise des empreintes digitales et photo), attente... le tout pour embarquer de nouveau dans le meme appareil et reprendre la meme place. Que de formalites, alors que je n'ai meme pas vraiment mis le pied sur le sol americain !

Quelques rencontres : un couple d'anglais a voulu me deloger de ma place au hublot, a Londres, mais s'est finalement revele plutot sympathique ; Idem pour un autre anglais, avec qui j'ai eu une petite discussion a l'endroit clef de l'avion (les toilettes) ; Idem avec un gars d'europe de l'est qui partageait ma file d'attente americaine. Bilan : mon anglais est tel que je me l'imaginais, cad tout pourri mais suffisant pour avoir une discussion correcte avec quelqu'un de cooperatif.

Quelques images : l'atterissage a Londres sous une grisaille legendaire ; l'aeroport international, impressionnant, avec son bar a huitres et son resto francais "chez Gerard" ; Les etendues blanches et craquelees du Groenland ; Les Big Horn Mountains ; Les grandes lettres blanches de "Hollywood" sur la celebre colline ; D'une maniere generale, l'approche de Los Angeles.

Je suis plein de fatigue, et perdu, question horaire : deja, ma montre a rendu l'ame une heure seulement apres le depart de Nice ; Ensuite, l'ecran dans l'avion montrait bien la repartition jour/muit sur le globe et la trajectoire de l'avion suit parfaitement celle du soleil (autant te dire que la journee a ete longue) ; Enfin, dans l'avion, ils nous donnent n'importe quoi a manger (sucre/sale) et a n'importe quelle heure. Du coup mon estomac ne sait plus si c'est le dejeuner, le diner ou le moment de dormir.

Je suis naze, mais je viens de renoncer a tout calcul : je vais essayer de dormir, on verra bien.

STV.

"De toute facon il n'a pas assez de doigts pour compter le decalage horaire.
- Nan. Il lui manque deux doigts..."

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Commentaires
M
pauvre... j'espère que tes doigts vont vite repousser.
C
Ça c'est pas de chance, la montre qui se rebelle au mauvais moment...
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